Malgré cette hausse significative, une étude de Statistique Canada démontre que « les besoins insatisfaits en matière de conseil ou de psychothérapie sont plus importants que les besoins en matière de médicaments ou d’information sur la santé mentale ».
Au Québec, grâce à l’assurance médicaments, « il n’y a pas d’obstacle financier à utiliser les médicaments », mentionne Dr Lesage, psychiatre chercheur à l’IUSMM. Cependant, ce n’est pas le cas de la psychothérapie. Une situation « absolument inéquitable », selon lui.
Pour en savoir plus, consulter l'article de La Presse.