Les recherches effectuées dans cet axe s'intéressent au fonctionnement humain selon une perspective à la fois normative et pathologique, de l’ADN aux influences sociales, en partant des cellules et des molécules jusqu’au corps de l’individu dans son ensemble. Les recherches se concentrent par ailleurs sur les facteurs biologiques, cognitifs, émotionnels et sociaux qui peuvent influencer la maladie mentale.
L’objectif de ces recherches est de déceler des facteurs qui permettent d’établir des diagnostics plus rapidement, en permettant d’avoir accès à des traitements novateurs. Les chercheurs de cet axe ont recours principalement à la neuroscience des systèmes, l’analyse en laboratoire d’échantillons biologiques, l’imagerie cérébrale, la psychophysiologie cognitive, les mesures neurophysiologiques et cardiaques, l’épigénétique, l’intelligence artificielle, etc.
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